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RECYCLAGE & RÉCUPÉRATION

Stocamine : le gouvernement lance une étude de faisabilité pour la poursuite d'un déstockage

PUBLIÉ LE 13 FÉVRIER 2019
E.G
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Stocamine : le gouvernement lance une étude de faisabilité pour la poursuite d'un déstockage
Mardi 12 février, le gouvernement a annoncé le lancement d’une étude de faisabilité de la poursuite d’un déstockage partiel des déchets enfouis dans le site de stockage de déchets de Stocamine, dans le Haut-Rhin.

Le gouvernement a annoncé ce mardi 12 février, rouvrir le dossier Stocamine, centre de stockage de déchets situé à Wittelsheim dans le Haut-Rhin. Le ministre de la transition écologique et solidaire, François de Rugy a en effet déclaré, après avoir rencontré des élus locaux et parlementaires du territoire, « le lancement d’une étude technique et financière de la faisabilité de la poursuite d’un déstockage partiel, en parallèle de la poursuite du confinement, et étalé jusqu’à 2027 ». Les conclusions de cette étude devraient être rendues au plus tard dans un an, peut-on lire dans un communiqué du ministère.

Fermé depuis 2012, ce centre de stockage abrite environ 42.000 tonnes de déchets enfouis à 500 mètres de profondeur. Selon le gouvernement « 90% des déchets les plus toxiques ont déjà été extraits ».

Pas de risque pour la nappe phréatique selon le BRGM

En mars 2018, l’Etat avait demandé au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) de réaliser une étude sur la possibilité de déstocker les déchets restants. « Aux termes de cette expertise, il est apparu que le destockage des déchets restants présenterait aujourd’hui des risques plus importants et plus graves que la poursuite de leur confinement », rappelle le ministère dans son communiqué. Ces risques sont liés à la manutention et au transport des déchets, à l’entreposage des déchets dans d’autres sites de stockage, ou encore à un potentiel accident pendant le déstockage.

Les résultats de l’étude du BRGM seront présentés aux citoyens du territoire lors d’une réunion locale. L’organisme avait notamment conclu que le confinement des déchets non solubles (amiante notamment) n’aurait pas d’impact sur la nappe phréatique.
Crédit : StocaMine
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