Alors que le Puy-de-Dôme a déjà atteint ses objectifs de réduction d’enfouissement des OMR, le département se dirige vers une explosion des coûts et de l’impact environnemental de la gestion de ses déchets résiduels.

« Pour le Puy-de-Dôme, c’est la triple peine, expose Laurent Battut, président du Valtom, le syndicat local de traitement des déchets ménagers et assimilés (DMA). Nous avons investi 220 millions d’euros en 2013 pour construire un centre de valorisation avec incinérateur, méthaniseur et traitement des mâchefers...