« Les points de basculement sont pratiquement inexistants dans la nature »
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Contrairement à une idée reçue de plus en plus répandue, il n'existe pas, dans les écosystèmes, de seuils de perturbations au-delà desquels les milieux naturels se détériorent brutalement. Une méta-étude recensant et analysant 4.600 articles scientifiques a été publiée dans la revue Nature Ecology & Evolution. Rencontre avec l'un de ses co-auteurs, José Montoya, écologue au CNRS.
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PROPOS RECUEILLIS PAR ANTHONY LAURENT, LE 23 OCTOBRE 2020.