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Michel Tesconi, P-DG de Citelum.

LA RÉDACTION, LE 14 NOVEMBRE 2011
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Pour Citelum, que représente ce contrat à Venise ? Une belle référence. Sur l'année 2011, nous prévoyons de réaliser 300 millions d'euros de chiffre d'affaires, dont 70 % à l'étranger. À Venise, nous gérions déjà l'éclairage. De ce point de vue, ce contrat est un renouvellement. Mais pour nous, c'est le premier qui intègre l'ensemble des équipements électriques. Dès sa création, Citelum s'est positionnée sur la gestion complète de l'éclairage public. Désormais, c'est aussi le cas pour l'ensemble du système électrique urbain : les réverbères, mais aussi les balises alimentées par des panneaux photovoltaïques sur la lagune de Venise, la recharge des voitures électriques... Avec ce contrat, Citelum entre dans l'ère du smart grid. Quelles solutions allez-vous déployer ? Notre outil Packweb recense tous les points lumineux, détecte les pannes et permet la gestion prédictive. Il sera associé à notre système de télégestion Citenergy, qui offre au minimum 30 % d'économies d'énergie. Nous l'avons déjà déployé en Chine, où nous avons même atteint 44 % d'économies. Nous utilisons la technologie des courants porteurs en ligne pour communiquer avec chaque réverbère, qui dispose ainsi de sa propre adresse IP. Notre idée est d'éclairer la ville au plus juste. Nous gérons l'éclairage au réverbère près. Chacun est piloté séparément selon son emplacement et l'horaire. Suivant la demande, nous pouvons aussi l'équiper d'une antenne Wi-Fi et/ou de bornes de recharge de voitures électriques. À Venise, pour la première fois, nous allons installer notre système Telewatt, une prise installée sur le réverbère. Avec elle, nous pouvons recharger les voitures en utilisant un réseau électrique déjà présent, et inutilisé en journée. Quelles perspectives de développement vous offre ce marché ? De plus en plus, les villes s'intéressent à notre offre. Notre facteur différenciant est un positionnement sur les usages. Et non simplement le changement des ampoules. Notre système Citenergy est la clé du réseau. Une fois qu'il est installé, la ville peut se contenter du pilotage de l'éclairage public. Dijon nous a ainsi retenus pour gérer ses 15 000 points lumineux. Mais ensuite, rien ne l'empêche d'ajouter les bornes de recharge, le Wi-Fi, la vidéosurveillance... Notre offre complète a convaincu Oslo. Nous avons aussi répondu à l'appel d'offres de la ville de Tallin, où nous sommes en concurrence avec ABB.


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