Au terme de cinq ans et demi d'instruction, seize chefs d'entreprise, fabricants, négociants agricoles et responsables de coopératives ont comparu début octobre devant le tribunal correctionnel de Saint-Gaudens pour mise sur le marché, introduction en France, reconditionnement et publicité de pesticides ne bénéficiant pas d'autorisation, ainsi que vente de produits toxiques sans disposer d'agrément administratif. Dans une autre affaire, Monsanto est suspecté de publicités mensongères pour le Roundup.