L’agglomération complète ainsi son « réseau de nez », constitué en 2003, ont annoncé le 7 avril Michel Reppelin, président du Secrétariat permanent pour la prévention des pollutions industrielles et des risques dans l’Agglomération lyonnaise (Spiral Air) et Philippe Ledenvic, directeur de la Drire.
Les effluves venant des égouts ou des stations d’épuration, qui sont gérées par une régie, font partie des cibles au même titre que les odeurs industrielles. Quatre industriels de l’agglomération, dont la raffinerie Total de Feyzin et l’usine Rhodia Saint-Fons Chimie, ont officialisé le 7 avril leur volonté d’avancer vers la réduction des nuisances olfactives en signant une charte d’engagement.
La plate-forme téléphonique, joignable au 0 800 800 709, sera chargée de gérer tous les appels concernant les odeurs, facilitant la transmission des informations aux industriels ou éventuellement la réalisation de prélèvements sur le terrain.Respiralyon