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Nathalie Kosciusko-Morizet fixe la feuille de route

LA RÉDACTION, LE 18 JANVIER 2011
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Plus de 300 représentants de 55 pays (gouvernements, collectivités locales, institutions internationales, entreprises, ONG et instituts de recherche) étaient présents. La ministre a indiqué les quatre enjeux prioritaires pour la France lors de ce forum : le premier concerne l’accès à l’eau et à l’assainissement. « Alors qu’une nouvelle impulsion a été donnée avec la reconnaissance de l’eau et de l’assainissement comme un droit à part entière, le 6ème Forum mondial de l’eau doit permettre de franchir un cap supplémentaire. Il s’agit de passer aux actes dans le domaine de la coopération concrète entre les acteurs de l’eau. L’expertise reconnue de la France notamment grâce au savoir-faire de ses grandes entreprises doit favoriser la mise en place d’un dialogue constructif entre les Etats pour que ce nouveau droit ne reste pas un vœu pieu » a déclaré la ministre. Le deuxième enjeux consiste à réaliser un suivi des engagements pris lors des forums de l’eau, à partir par exemple d’une base de données. Le troisième enjeux concerne la coopération transfrontalière. La France étant le 22ème Etat à avoir adhéré – en décembre dernier - à la convention des Nations unies sur l’utilisation des cours d’eau internationaux, elle s’emploiera jusqu’au forum, et au-delà si nécessaire, à promouvoir ce texte destiné à faire de l’eau un facteur de coopération entre les Etats. Enfin, le dernier enjeu concerne le rôle des autorités locales. En s’appuyant sur les acquis du Forum mondial de l’eau à Istanbul en mars 2009, le forum de Marseille doit permettre au plus grand nombre possible d’autorités locales d’adhérer au « Pacte d’Istanbul » qui vise à améliorer la gouvernance de l’eau et à orienter les politiques locales vers une gestion durable des ressources et des infrastructures.Plus de 300 représentants de 55 pays (gouvernements, collectivités locales, institutions internationales, entreprises, ONG et instituts de recherche) étaient présents. La ministre a indiqué les quatre enjeux prioritaires pour la France lors de ce forum : le premier concerne l’accès à l’eau et à l’assainissement. « Alors qu’une nouvelle impulsion a été donnée avec la reconnaissance de l’eau et de l’assainissement comme un droit à part entière, le 6ème Forum mondial de l’eau doit permettre de franchir un cap supplémentaire. Il s’agit de passer aux actes dans le domaine de la coopération concrète entre les acteurs de l’eau. L’expertise reconnue de la France notamment grâce au savoir-faire de ses grandes entreprises doit favoriser la mise en place d’un dialogue constructif entre les Etats pour que ce nouveau droit ne reste pas un vœu pieu » a déclaré la ministre. Le deuxième enjeux consiste à réaliser un suivi des engagements pris lors des forums de l’eau, à partir par exemple d’une base de données. Le troisième enjeux concerne la coopération transfrontalière. La France étant le 22ème Etat à avoir adhéré – en décembre dernier - à la convention des Nations unies sur l’utilisation des cours d’eau internationaux, elle s’emploiera jusqu’au forum, et au-delà si nécessaire, à promouvoir ce texte destiné à faire de l’eau un facteur de coopération entre les Etats. Enfin, le dernier enjeu concerne le rôle des autorités locales. En s’appuyant sur les acquis du Forum mondial de l’eau à Istanbul en mars 2009, le forum de Marseille doit permettre au plus grand nombre possible d’autorités locales d’adhérer au « Pacte d’Istanbul » qui vise à améliorer la gouvernance de l’eau et à orienter les politiques locales vers une gestion durable des ressources et des infrastructures. Plus de 300 représentants de 55 pays (gouvernements, collectivités locales, institutions internationales, entreprises, ONG et instituts de recherche) étaient présents. La ministre a indiqué les quatre enjeux prioritaires pour la France lors de ce forum : le premier concerne l’accès à l’eau et à l’assainissement. « Alors qu’une nouvelle impulsion a été donnée avec la reconnaissance de l’eau et de l’assainissement comme un droit à part entière, le 6ème Forum mondial de l’eau doit permettre de franchir un cap supplémentaire. Il s’agit de passer aux actes dans le domaine de la coopération concrète entre les acteurs de l’eau. L’expertise reconnue de la France notamment grâce au savoir-faire de ses grandes entreprises doit favoriser la mise en place d’un dialogue constructif entre les Etats pour que ce nouveau droit ne reste pas un vœu pieu » a déclaré la ministre. Le deuxième enjeux consiste à réaliser un suivi des engagements pris lors des forums de l’eau, à partir par exemple d’une base de données. Le troisième enjeux concerne la coopération transfrontalière. La France étant le 22ème Etat à avoir adhéré – en décembre dernier - à la convention des Nations unies sur l’utilisation des cours d’eau internationaux, elle s’emploiera jusqu’au forum, et au-delà si nécessaire, à promouvoir ce texte destiné à faire de l’eau un facteur de coopération entre les Etats. Enfin, le dernier enjeu concerne le rôle des autorités locales. En s’appuyant sur les acquis du Forum mondial de l’eau à Istanbul en mars 2009, le forum de Marseille doit permettre au plus grand nombre possible d’autorités locales d’adhérer au « Pacte d’Istanbul » qui vise à améliorer la gouvernance de l’eau et à orienter les politiques locales vers une gestion durable des ressources et des infrastructures.


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