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« Nous sommes déjà en situation de crise »

LA RÉDACTION, LE 16 MAI 2011
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La carte des arrêtés devient plus rouge de semaine en semaine (voir la carte de France des arrêtés au 16 mai et voir le tableau détaillé des arrêtés au 20 mai).« Nous avons deux mois d’avance : mi-mai, l’état de remplissage des nappes et d’humidité des sols est celui d’un mois de juillet. Nous sommes d’ores et déjà en situation de crise pour certaines profession s’il ne pleut pas dans les quinze prochains jours », a précisé la ministre. Or Michèle Blanchard de Météo France n’annonce, pour les quinze prochains jours, aucune pluie d’envergure. EDF se veut rassurantLes secteurs touchés sont évidemment l’agriculture, mais aussi le tourisme d’eau. Certains barrages réservoirs n’ont pas atteint leur cote touristique, comme ceux de Serre-Ponçon ou de Vouglans. Côté énergétique, EDF s’assure prêt à faire face à la situation, notamment grâce à des investissements réalisés sur les centrales nucléaires depuis la sécheresse de 2005, comme l’augmentation du débit de certaines pompes. « Si le débit d’eau venait à être trop faible pour refroidir un réacteur, en dernier recours ce dernier serait arrêté sans dérogation possible. De telles situations sont prévisibles, et elles permettent de prendre des mesures préventives : cela n’a rien à voir avec ce qui s’est passé à Fukushima », a tenu à préciser Nathalie Kosciusko-Morizet.Une circulaire pour harmoniserLa ministre a par ailleurs annoncé ce jour la publication d’une circulaire pour harmoniser la gestion de ces crises par les préfectures. Il s’agit ainsi de faire en sorte que les préfets ne puissent prendre que quatre types d’arrêtés possibles – vigilance, alerte, alerte renforcée, crise. Un autre exemple de mesure est le rapprochement entre les services des installations classées et les services de police de l’eau pour envisager ensemble les secteurs d’activité qui pourraient diminuer leurs ponctions.Enfin, en cas de crise la circulaire demande aux préfets d’utiliser le nouvel outil informatique, Propluvia. Ce dernier est destiné à donner au public, grâce à Internet, une information beaucoup plus fine que les alertes départementales actuellement en vigueur. Il sera en ligne en juin sur www.developpement-durable.gouv.frLe communiqué de presse et l’ensemble des documents suite au comité de suivi hydrologique en ligne


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