Cette étude trimestrielle classe 40 marchés dans le monde selon leurs opportunités d'investissement et de déploiement dans les énergies renouvelables. La dernière version a été rendue publique le 16 septembre. Le bilan est globalement défavorable à l'Europe et aux États-Unis par rapport aux pays émergents. Dans le détail, la Chine prend la 1ère place aux États-Unis, qui reculent en 2e position. Derrière eux, l'Allemagne et le Japon restent respectivement 3e et 4e. De même, la Corée du Sud (11e), la Belgique (14e) ou encore le Portugal (18e) sont stables. En revanche, le Royaume-Uni (7e), l'Australie (10e), l'Italie (15e) et l'Espagne (22e) perdent chacun une à trois places. Au profit de l'Inde (6e), du Brésil (9e), du Chili (12e), des Pays-Bas (13e) ou encore de l'Afrique du Sud (16e), qui progressent. Et la France ? Elle reste stable en 8e position. Le cabinet a décliné son indice d'attractivité par technologies. Les points forts de la France sont les énergies marines (5e pour ce secteur), l'éolien offshore (8e) et le photovoltaïque (8e). Ses points faibles : la biomasse (10e), l'éolien terrestre (12e), la géothermie (15e) et l'hydraulique (16e).TBDécouvrez le classement d'EY