Afin de développer les petites installations solaires de moins de 500 kWc, soit moins de 4000 mètres carrés, le SER-Soler propose la mise en place d’un cadre économique dédié. « Actuellement, ces installations sont soumises à une procédure d’appel d’offres complexe et à l’issue incertaine pour un certain nombre d’acteurs comme les collectivités locales, les agriculteurs et les PME, au regard de leurs moyens humains et des enjeux financiers », explique le SER-Soler. De fait, la commission du syndicat souhaite que « le seuil actuel du guichet ouvert soit relevé de 100 kVA à 500 kWc comme le permettent les lignes directrices de la Commission Européenne en matière d’aides d’Etat », afin de « véritablement libérer le potentiel de l’énergie solaire » et permettre un changement d‘échelle.
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Par ailleurs, le SER-Soler a également formulé des propositions sur les thématiques de l’autoconsommation, de l’urbanisme, la mobilisation du foncier, le solaire thermique, les spécificités des zones non-interconnectées, ou encore la structuration de la filière industrielle française.