Ces directives permettent de comprendre comment identifier ces flux qui transitent d’un pays à l’autre, l’objectif étant de contrôler leur trafic illégal. Elles marquent une première étape importante pour encourager le recyclage des équipements électriques et électroniques. Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP), jusqu’à 90% des déchets électroniques sont échangés ou déversés illégalement, pour des montants évaluées à environ 17 milliards d'euros par an, posant de graves dangers pour la santé humaine et l’environnement, en particulier dans les pays d’Afrique.RR