Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
RECYCLAGE & RÉCUPÉRATION

La lutte contre le gaspillage alimentaire est étendue à la restauration collective privée et à l'industrie agroalimentaire

E.G, LE 7 JANVIER 2020
Archiver cet article
Newsletters
La lutte contre le gaspillage alimentaire est étendue à la restauration collective privée et à l'industrie agroalimentaire
Depuis le 1er janvier dernier, une ordonnance élargit au secteur de la restauration collective privée et aux industries agroalimentaires, l’obligation de lutte contre le gaspillage alimentaire.

L’ordonnance prise en application de la loi EGAlim du 30 octobre 2018, qui est en vigueur depuis le 1er janvier dernier, étend aux opérateurs de la restauration collective privée, l’obligation de lutte contre le gaspillage alimentaire déjà imposée dans la restauration collective des établissements publics et aux collectivités territoriales. « Cette démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire devra intervenir après la réalisation d’un diagnostic préalable, incluant l’approvisionnement durable en denrées alimentaires », précise le ministère de l’agriculture et de l’alimentation dans un communiqué.

PUBLICITÉ
Cette ordonnance étend également aux opérateurs de la restauration collective et de l’industrie agroalimentaire, l’interdiction de rendre les invendus alimentaires encore consommables, impropres à la consommation. Cette obligation s’applique déjà aux distributeurs du secteur alimentaire. « A cet égard, une amende de 3.750 euros est prévue pour le non-respect de cette interdiction qui peut être assortie de la peine complémentaire d’affichage ou de diffusion par voie de presse », précise le ministère.

Enfin, cette ordonnance étend aux opérateurs de restauration collective préparant plus de 3.000 repas par jour, et aux industries agroalimentaires réalisant un chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions d’euros, l’obligation de proposer à des associations de récupérer les denrées consommables et non vendues.

Ce lundi 6 janvier, le ministre Didier Guillaume a présenté le projet de loi ratifiant cette ordonnance.


Sigurdas / Wikimedia Commons
PARTAGER :
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Découvrir nos newsletters →
À LIRE ÉGALEMENT
André-Louis Brenier, directeur du site Eco-Logistique Réemploi à Courtenay
André-Louis Brenier, directeur du site Eco-Logistique Réemploi à Courtenay
Les box réutilisables LivingPackets ont franchi 3 millions de kilomètres en 2024
Les box réutilisables LivingPackets ont franchi 3 millions de kilomètres en 2024
Déchets alimentaires  : collecte séparée, en AV toute
Déchets alimentaires : collecte séparée, en AV toute
Tri-O Greenwishes Groom confirme le rachat de la société CKFD Environnement
Tri-O Greenwishes Groom confirme le rachat de la société CKFD Environnement
TOUS LES ARTICLES RECYCLAGE & RÉCUPÉRATION
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS