En 2004, Didier Marie proposait que son département devienne un territoire non OGM pour préserver l'équilibre économique des agriculteurs, mais aussi pour ne pas introduire un risque non encore mesuré pour la santé publique. « Je suis toujours persuadé que le principe de précaution totale doit s'appliquer de la fourche à la fourchette car nul n'est en mesure de prouver à ce jour scientifiquement que les cultures transgéniques sont sans danger pour la santé publique. Les autoriser serait totalement contraire aux engagements pris au Grenelle de l'Environnement. »