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POLLUTIONS

Qualité de l’air : première préoccupation environnementale des Franciliens

E.G, LE 18 OCTOBRE 2018
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Qualité de l’air : première préoccupation environnementale des Franciliens
Ce jeudi 18 octobre, l’association de surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France, Airparif, publie les résultats d’une enquête menée auprès des Franciliens. Pour 65 % d’entre eux, la qualité de l’air est la principale préoccupation environnementale.

La qualité de l’air inquiète les Franciliens, devant le changement climatique (63%) et l’alimentation (38%), selon les résultats d’un sondage réalisé par Ipsos pour Airparif auprès de plus de 1000 habitants de la région Ile-de-France. « Selon les résultats, 16% d’entre eux estiment que la qualité de l’air est bonne ou très bonne et 84 % d’entre eux estiment qu’elle est mauvaise, dont un quart très mauvaise », souligne Airparif sur son site. Néanmoins, seuls 19 % des sondés affirment s’informer régulièrement sur la qualité de l’air, alors que « 58 % s’informent uniquement lors des pics de pollution ».

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Selon l’association de surveillance de la qualité de l’air francilien, la situation s’est améliorée en dix ans concernant les polluants réglementés : « En 2007, on comptait en effet 4 millions de Franciliens surexposés à un air qui ne respecte pas la réglementation ». Ils sont désormais 1,3 million. Pourtant, le sondage fait état de 61 % de Franciliens qui « pensent que la qualité de l’air s’est détériorée ces dix dernières années ». La majorité des sondés (77%) se sentent en particulier exposés dans la rue. « Or, c’est bien dans sa voiture, au coeur du trafic, que l’exposition aux polluants est la plus importante », rappelle Airparif.

Développer les transports en commun

Enfin, 79 % des Franciliens interrogés sont favorables à la mise en place de mesures de restrictions de la circulation pour certains véhicules en cas de pics de pollution. Pour améliorer la qualité de l’air, 39 % des sondés pensent qu’il s’agit en priorité de développer les transports en commun, 23 % d’apporter des aides financière pour remplacer son équipement de chauffage individuel, 14 % de développer le télétravail, 13 % de développer le co-voiturage et 11 % d’aménager des voies réservées aux piétons et cyclistes.


Wikimedia Commons / DR
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