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MOBILITÉ

Autopartage : 64 % des Français séduits mais freinés par le manque d’offres sur les territoires

PUBLIÉ LE 23 AVRIL 2018
E.G
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Autopartage : 64 % des Français séduits mais freinés par le manque d’offres sur les territoires
Selon un sondage réalisé par la plateforme d’autopartage Clem’, 64 % des Français sont séduits par l’autopartage, mais freinés par l’absence de services sur les territoires et par le mauvais état des véhicules.

La plateforme d’autopartage Clem’ a réalisé un sondage auprès de 500 Français en mars 2018 : il en ressort que 64 % des répondants sont prêts à utiliser l’autopartage. Pour 42 % des sondés, « peu importe que ces services soient proposés par des collectivités, des constructeurs automobiles, des loueurs de véhicules ou encore par les consommateurs : c’est la nature du service qui compte », relève Clem’. 52 % des sondés plébiscitent l’autopartage pour un usage personnel et 48 % pour un usage professionnel.

Le caractère économique de l’autopartage est son premier avantage : pour 37 % des répondants, « il est plus économique de partager un véhicule plutôt que de posséder son propre véhicule ». Par ailleurs, l’autopartage permet aux usagers de répondre à un « besoin ponctuel de véhicules » de type break ou utilitaire par exemple, et d’éviter les problèmes de stationnement ou encore de répondre à des enjeux écologiques. En effet, un tiers des sondés privilégient une offre de véhicules électriques quand cela est possible , et 17 % aimeraient se voir proposer des véhicules électriques avec davantage d’autonomie ». De plus, « 16% estiment l’autopartage plus souple et plus pratique que les transports en commun », notamment au niveau de la flexibilité des horaires.

Un déploiement encore trop faible de l’offre d’autopartage

Si les 500 répondants estiment que l’autopartage est une solution « économique, conviviale et pratique », il existe cependant deux principaux freins à sa démocratisation : 36 % des répondants déplorent l’absence de services d’autopartage à proximité de leur lieu de travail ou de leur domicile. Et 29 % d’entre eux déplorent le mauvais état des véhicules proposés. Pour Clem’, il s’agit donc d’enrichir l’offre de services et d’améliorer la maintenance des véhicules et des stations.

Bruno Flinois, président de Clem’ explique que « de nombreux territoires restent encore à mailler, notamment dans les zones rurales et péri-urbaines, sur lequelles Clem’ intervient. C’est là où les besoins sont les plus grands pour remplacer un second véhicule parfois trop coûteux ou venir en relais des transports en commun, notamment sur le dernier kilomètre (...) ».
Crédit : Clem' / Ville d'Epernay
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