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TERRITOIRES

Un guide sur l'utilité de la microbiologie moléculaire dans le diagnostic environnemental

EVA GOMEZ, LE 9 NOVEMBRE 2017
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Un guide sur l'utilité de la microbiologie moléculaire dans le diagnostic environnemental
Adressé aux professionnels de l’eau, des sols, de l’atmosphère et des déchets, « La microbiologie moléculaire au service du diagnostic environnemental » est accessible en commande via le site de l’Ademe.

L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) vient de mettre en ligne un guide technique intitulé « La microbiologie moléculaire au service du diagnostic environnemental ». Accessible en commande au prix de 25€, ce guide s’adresse aux professionnels de l’eau, des sols, de l’atmosphère et des déchets « souhaitant franchir un cap dans l’utilisation d’outils de microbiologie moléculaire pour le diagnostic environnemental », indique l’Ademe sur son site. Bureaux d’études, entreprises et fédérations professionnels notamment des secteurs de l’agriculture et de la forêt, collectivités territoriales et enseignants, sont invités par l’Ademe à s’intéresser à la microbiologie moléculaire. « Les microorganismes, de par leur petite taille, leur énorme diversité taxonomique et génétique, leur réactivité aux perturbations ainsi que par leur forte implication dans les cycles biogéochimiques gérant les flux de matière et d’énergie, sont des candidats incontournables pour élaborer ce diagnostic » environnemental, estime l’Agence. Cette dernière insiste également sur les progrès méthodologiques effectués ces vingt dernières années, « qui ont permis de sublimer les techniques d’étude de ces microorganismes dans l’environnement. ».

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Dans ce guide, les différentes techniques de microbiologie moléculaire permettant de « caractériser l’abondance, la diversité, l’activité et les potentialités fonctionnelles des communautés microbiennes indigènes de diverses matrices environnementales (eau, sol, atmosphère, déchets) », sont explicitées. Des fiches techniques et des fiches applications sont également fournies. Elles illustrent « des utilisations réelles de ces techniques pour évaluer ou remédier à l’impact des activités humaines (agricoles, industrielles, urbaines) ». Enfin, le dernier chapitre présente « le caractère  opérationnel de ces outils biologiques pouvant répondre à diverses questions environnementales ».


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