Ce partenariat a été signé pour une durée de cinq ans, et a « pour enjeu principal la réalisation de projets collaboratifs de recherche appliquée basée sur plusieurs principes reposant sur le modèle des IRT ». A savoir, « une démarche de co-construction, le co-financement public-privé, la co-localisation des ressources et la co-proporiété des résultats produits.
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Trois pistes de collaborations sont d’ores-et-déjà envisagées : un projet de Blockchain autour du pass urbain, pour la sécurisation des transactions entre partenaires pour la vente d’offres combinées notamment ; un partenariat de recherche et développement pour le projet de covoiturage dynamique de l’A6/A7, « qui permettra de proposer une solution simple associant les offres de covoiturage de différentes natures et sécurisant les transactions entre utilisateurs par le biais de la blockchain » ; ainsi qu’un programme dédié à la production et la consommation d’énergie, fondée sur la technologie blockchain. « L’enjeu principal est de développer de nouveaux services en matière de mobilité, d’énergie, d’économie solidaire ou encore de santé », précise la métropole.