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« devenir le numéro un français des onduleurs »

LA RÉDACTION, LE 15 JUIN 2015
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Comment vendre des onduleurs dans un secteur – le photovoltaïque – à la peine ? Enphase Energy propose des micro-onduleurs qui réduisent le temps et le coût d'installation en comparaison aux onduleurs classiques. Ces micro-onduleurs permettent d'optimiser, panneau par panneau, la production d'une centrale solaire en toiture. Ce pilotage précis rassure les consommateurs qui, après la bulle photovoltaïque des années 2008-2010, sont devenus frileux et exigeants. Par ailleurs, nos produits, petits et modulaires, sont adaptés aux deux modèles d'affaires de la filière : la vente d'électricité sur le réseau et l'autoconsommation. En 2011, année de notre installation en Europe, nous étions les seuls à pouvoir nous appuyer sur ces deux modèles. Nous avons pu prendre dès le début le virage de l'autoconsommation photovoltaïque. L'autoconsommation est-elle rentable en France ? Dans le résidentiel, le modèle prédominant reste la vente directe de l'électricité sur le réseau, mais la part de marché de l'autoconsommation s'accroît. À l'avenir, tout dépendra de la mise en place ou non de mesures incitatives. Concernant les bâtiments tertiaires, pour lesquels les tarifs d'achat sont plus faibles, l'écart entre les deux modèles est moindre et l'autoconsommation y deviendra prépondérante d'ici à trois ans. Dans ce contexte, quelles sont les perspectives d'Enphase ? Au niveau mondial, En-phase a réalisé en 2014 un chiffre d'affaires de 350 millions de dollars, dont 20 % en dehors des États-Unis, essentiellement en Europe. L'entreprise vise 450 millions cette année. En Europe et au Moyen-Orient, l'Angleterre représente 45 % de notre activité et la France environ 35 %. Enphase s'est développée très rapidement. La société est entrée en Bourse dès 2012 pour asseoir sa visibilité. Aujourd'hui, en France, Enphase est le numéro deux des onduleurs avec 20 à 25 % de part de marché dans le résidentiel. Nous voulons passer numéro un d'ici à la fin 2015. C'est-à-dire atteindre 28 à 30 % de part de marché. Comment vous préparez-vous à l'évolution du secteur ? Nous disposons déjà de logiciels pour piloter les centrales en toiture. Nous voulons aller plus loin en proposant des systèmes de gestion de l'énergie. Le but est de rendre l'usager proactif, capable de choisir à quel moment il utilise sa production photovoltaïque et à quel moment il passe par le réseau. Nous réfléchissons aussi à développer une solution pour mieux dialoguer avec les gestionnaires de réseaux. Puisque nous suivons module par module de nombreuses centrales, notre parc installé pourrait être une précieuse source d'informations pour assurer l'équilibre offre-demande. TB


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