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Bioéconomie : fusion de B4C et de l’ACDV

LA RÉDACTION, LE 11 JUIN 2025
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Bioéconomie : fusion de B4C et de l’ACDV
Bioeconomy For Change (B4C) et l’Association Chimie du Végétal (ACDV) fusionnent afin de créer une entité unique, plus forte, et plus influente ayant vocation à transiter vers des modèles plus durables, plus résilients et compétitifs. Ce rapprochement prendra effet au 1er janvier 2026. 

Depuis 20 ans, B4C, réseau référent de la bioéconomie en France et en Europe, agit pour catalyser l’innovation biosourcée et accompagner l’industrialisation de projets bioéconomie dans les territoires. L’ACDV s’est imposée depuis plus de 15 ans comme un acteur central dans la représentation des intérêts des acteurs de la filière et la promotion de la chimie du végétal. 

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Les deux partenaires ont conçu ce projet de fusion comme un levier stratégique qui doit répondre aux défis de durabilité actuels et futurs des filières biosourcées. En mutualisant leurs forces, B4C et l’ACDV combinent veille stratégique, relations institutionnelles et plaidoyer, innovation et industrialisation.

Une nouvelle étape

Cinq leviers guideront cette nouvelle dynamique : 

1. Développer et créer de la valeur durable en étoffant l’offre de services qui est proposée aux adhérents par l’élargissement des thématiques couvertes, depuis l’innovation à la mise sur le marché (financement, innovation, réglementation, affaires publiques, structuration des marchés). 
2. Intégrer toute la chaîne de valeur, de l’amont à l’aval, en construisant des synergies avec l’ensemble des acteurs de la bioéconomie à travers une approche plurielle, combinant partenariats collectif (publique et privé), dynamiques de filière (territoriale et sectorielle) et initiatives portées par les entreprises. 
3. Amplifier l’impact global (à l’échelle régionale, nationale, européenne) pour renforcer le positionnement de la chimie du végétal et des produits biosourcés français. 
4. Renforcer les prises de positions sur des thèmes stratégiques tels que la normalisation et la durabilité, en unissant les expertises sectorielles, pour anticiper et faciliter les évolutions et transitions à venir. 
5. Elargir la lisibilité de tout l’écosystème de la bioéconomie, grâce à des actions coordonnées, au service des entreprises et des partenaires publics et privés. 



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