Le nouveau procédé présente le grand intérêt de ne pas générer de résidus qu'il faut traiter ensuite, comme c'est le cas dans les procédés biologiques ou physiques (électrodialyse, osmose inverse). Le nouveau catalyseur permet une réaction de réduction catalytique à température ambiante en présence d'un agent réducteur (hydrogène) qui transforme les nitrates en azote. L'efficacité du procédé a été montrée sur une eau de captage dont le taux de nitrates atteignait 80 mg/l. 60 % de la pollution a été abattue et le seuil légal de 50 mg/l a été atteint en trente minutes.Pour en savoir plus sur ce sujet et pour avoir les coordonnées du contact au CSIC, cliquez ici en mettant dans l'objet de votre e-mail