Au cours des vingt prochaines années, le Raquet, tel est son nom, s’étalera sur 200 hectares avec « la volonté de privilégier la mixité des paysages », en faisant cohabiter les 3 500 logements prévus (de la maison individuelle au petit collectif) avec des activités traditionnelles comme les cultures maraîchères ou horticoles. Le tout en appliquant, sans toutefois revendiquer l’étiquette HQE, des démarches de verdissement de l’énergie (éolien, photovoltaïque, géothermie, extension du réseau de chaleur existant), en gérant mieux la ressource en eau (récupération des eaux de pluie), en créant des zones tampon comme des bassins ou des noues et en privilégiant les modes de déplacements doux (voies cyclables, liaisons piétonnières, extension de la deuxième ligne du tramway).Guillaume Maincent
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