Acteurs de l’eau, représentants d’institutions, d’associations, de l’enseignement supérieur… ont apporté leurs contributions au débat devant une centaine de personnes. Parmi elles, la dizaine d’étudiants en première année de l’école de Management de Bordeaux à l’origine de cette initiative. Leur association, Eau les Cœurs, entend mettre en pratique ces réflexions par le soutien de projets de développement de l’accès à l’eau au Burkina Faso.Les quelques heures de la table ronde ont fait émerger des idées essentielles à l’appréhension de cette problématique. L’accès à l’eau est vu comme un droit, inéquitable comme l’est l’accès à l’assainissement, particulièrement en Afrique. L’égalité du genre figure parmi les Objectifs de Développement du Millénaire, comme l’accès à l’eau et à l’assainissement. Ce qui repose sur l’accès des femmes à l’éducation et sur leur intégration sociale.Au niveau des points d’eau, les femmes apparaissent au premier rang de l’action, ce qui les expose tout particulièrement, et les restreint dans d’autres activités plus lucratives. Un constat qui affecte avant tout les plus pauvres d’entre elles. Moyennant quoi, avant même l’arrivée de l’eau, les femmes s’organisent en se préoccupant d’hygiène et de finances, un point qui transparaît sur le suivi d’indicateurs vitaux tels que l’indice de fécondité. Camille SaïssetCliquez ici pour découvrir et vous abonner à Hydroplus.
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