« La pollution, sur un linéaire d’environ 1000 mètres, a entraîné une mortalité piscicole importante (truites notamment). Les premières constatations d’usage de terrain ont été faites et les investigations effectuées ont entraîné l’ouverture d’une enquête judiciaire », explique l’Office français de la biodiversité (OFB) dans un communiqué. Pour rappel, le fait de déverser des substances susceptibles de nuira à la faune ou à la flore dans les eaux superficielles, constitut un délit pénal susceptible de condamnation pouvant atteindre deux ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende.
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