La gestion à la source des différentes pollutions (nitrates, pesticides) qui peuvent impacter l’eau potable est un véritable enjeu de santé publique, auquel s’ajoute le coût non négligeable des traitements à effectuer pour assainir l’eau captée. La sauvegarde de la ressource implique également de mobiliser tous les acteurs, en particulier les agriculteurs.
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- L’agglomération du Choletais (Maine-et-Loire) pour ses actions en faveur de la transition écologique engagées depuis 2009, liées à la préservation de la source du captage, située sur le lac de Ribou. La collectivité a ainsi mis en place des systèmes herbagers moins gourmands en herbicide et elle a créé une marque pour soutenir les conversions en agriculture biologique.
- La commune de Canet d’Aude, en Occitanie, pour sa vision concertée de l’aménagement du territoire.
- La commune de Colombier-Saugnieu (Rhône) pour son action de communication et de sensibilisation dans le cadre de son plan d’actions agricoles lancé en 2018.
- Et la commune de Barbezieux-Saint-Hilaire (Charente) pour la vision globale de sa démarche, initiée dès 2010 et intégrée au programme Re-Sources porté par la région Nouvelle Aquitaine. Ce programme s’appuie sur une stratégie foncière et porte sur la reconquête de la qualité de l’eau, la préservation des cours d’eau et des milieux humides, la restauration d’habitats communautaires.
A signaler l’attention portée par les membres du jury à Eau de Paris et au Syndicat des eaux et de l’assainissement d’Alsace-Moselle pour leurs actions respectives au sein de territoires densément peuplés.