Philippe Bihouix, spécialiste de la raréfaction des ressources, livre là une critique des technologies vertes comme les énergies renouvelables, les réseaux intelligents, etc.
Non polluantes à l'usage, mais non recyclables et d'une durée de vie limitée, ces greentechs seraient, selon l'auteur, « une fuite en avant contribuant à la consommation de ressources et surtout des métaux rares ».
Il prône donc une civilisation se tournant vers la mécanique et les matériaux abondants, tout en gardant le numérique dans certains secteurs clefs. Un sujet qui mérite réflexion, dommage qu'elle soit ici trop caricaturale.