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Canal Seine-Nord et Lyon-Turin : la Commission européenne a tranché

LA RÉDACTION, LE 2 JUILLET 2015
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Sur les 700 infrastructures candidates aux aides de la Commission, vingt-huit projets français d’infrastructures étaient en attente de financement, ballotant un avenir incertain. Le 29 juin, l'aide promise par la Commission européenne est venue conforter leur devenir. Feu vert a ainsi été donné aux deux projets phares que sont le canal Seine-Nord et le tunnel euralpin Lyon-Turin. L'Europe les financera, comme cela était attendu, à hauteur de 40 % des coûts de construction sur 2016-2020. A elles seules, ces deux aides pèsent pour près de la moitié de l'enveloppe totale octroyée, qui atteint en France, principal pays bénéficiaire, plus de 1,7 milliard d’euros d'aides. Pour Lyon Turin (TELT), c'est le tronçon central du tunel qui bénéficiera de ces subsides (813 millions d’euros). Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes, a salué par voie de communiqué cette nouvelle, qui « traduit en actes le volontarisme européen de soutien à la relance économique par les investissements dans les grandes infrastructures de transports ». Canal Seine-Nord : un engagement confirmé Pour Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé des Transports, c'était une « chance à saisir ». Elle est désormais actée. Sur 2016-2020, le chantier du canal bénéficiera d'une aide de 979 millions d’euros pour ses études et travaux. L'objectif d'un financement à 40% est donc atteint. Les collectivités locales et l'Etat apporteront le reste. Un recours sera aussi fait à l'emprunt. Les travaux devraient donc bien débuter en 2017 pour une mise en service en 2023, avec de 12.000 à 14.000 emplois directs et indirects à la clé pour la construction de l'ouvrage. Plusieurs ports (Calais, Boulogne, Marseille, Bordeaux, Rouen, Nantes, Strasbourg) ont aussi obtenu cet aval sur des financements. Une bénédiction qu touche aussi des projets ferroviaires, dont les futures LGV reliant Montpellier à Perpignan ou Bordeaux à Dax. Autant de subventions qu'il reste néanmoins à valider, via un accord final du comité du mécanisme pour l’interconnexion en Europe, attendu le 10 juillet 2015.


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