Bien qu'absents du protocole sanitaire, les purificateurs d'air intérieur se sont imposés pendant l'épidémie de Sars-Cov2. Plusieurs régions les ont testé dans les écoles. Crédit : EpureAir
Par Laurence Madoui, le 13 décembre 2021.
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Ils sont coûteux, exigent une maintenance rigoureuse et ne dispensent pas des gestes barrières. Mais ils abaissent la charge virale, partout où l’aération est contrainte et la ventilation insuffisante. Absents du protocole sanitaire, les purificateurs se déploient toutefois en milieu scolaire. En ordre dispersé.
Quelles que soient les querelles d’experts, c’est la « ruée vers l’air ». En 2030, le marché français des purificateurs aura été multiplié par cinq (à 500 millions d’euros) en dix ans anticipe la fédération...
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Environnement Magazine + Hydroplus n° 1791.
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