Bpifrance soutient la croissance des PME de la filière « Déchets »

Fort du succès de la première promotion, la Bpifrance et la Direction générale des entreprises (DGE) lancent la deuxième promotion de l’Accélérateur transformation et valorisation des déchets. Ce programme personnalisé accompagne les PME du secteur en identifiant les leviers de croissance.

Afin de répondre aux enjeux du secteur de la transformation et valorisation des déchets, Bpifrance, la Direction générale des entreprises (DGE) s’allient pour lancer la deuxième promotion de l’Accélérateur Transformation et Valorisation des déchets. Ce programme, spécifiquement dédié aux entreprises de la filière Déchets, vise à soutenir leur croissance et développement pour une économie circulaire, compétitive et respectueuse de l’environnement en France et à l’international.

La nouvelle promotion est composée de 24 PME en croissance, ayant en moyenne 52 collaborateurs et réalisent un chiffre d’affaires de 10,2 millions d’euros en moyenne. Ce programme d’accélération les aidera à consolider leur activité et à intégrer les « mutations réglementaires, à innover, attirer et fidéliser les collaborateurs, bénéficier des conseils de pairs et tisser un réseau solide ».

Pour ce faire, celles-ci bénéficieront au cours de dix-huit mois de conseils, formations et mise en relation. Chaque entreprise fera l’objet d’un diagnostic d’entrée afin de cibler et activer les leviers de croissance. Ensuite, les PME participantes suivront des séminaires organisés en partenariat avec l’école Polytechnique ainsi que des ateliers afin de renforcer leurs compétences. En parallèle, elles participeront à des « journées filières » dédiées aux enjeux spécifiques du secteur accompagnées de « rencontres business » pour faciliter les échanges professionnelles et les partages d’expérience.

Succès d’une première promotion

Les entreprises de la première promotion lancée en 2021, affichent des taux de croissance positifs avec un chiffre d’affaires de 54 % et une évolution du nombre de salariés de 81 % et ce, malgré un contexte sanitaire défavorable.