« Nous souhaitons initier une dynamique de massification des travaux de rénovation et d’amélioration des logements privés : dans de nombreux territoires centrés sur une ville moyenne à la périphérie essentiellement rurale, l’état dégradé du parc de logements privés induit des effets pervers pour les propriétaires occupants, qui voient leur pouvoir d’achat grevé par des consommations énergétiques excessives, et pour le marché, en initiant des phénomènes de vacance qui découragent nouveaux ménages et investisseurs », indique Sébastien Martin, Président du Grand Chalon. « Or, nous avons été surpris de constater que très peu d’agglomérations se sont saisies de cet enjeu, pourtant essentiel pour maintenir leur attractivité résidentielle ».
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Cela constitue également un signal fort pour les acteurs locaux du bâtiment et de la rénovation thermique, dont les carnets de commande se trouvent directement impactés par la baisse du pouvoir d’achat de certains particuliers : depuis le 1er juin et jusqu’au 31 décembre prochain, l’agglomération majore de 50 % le montant de ces deux dispositifs d’aide financière, et en assouplit les conditions d’éligibilité.