Le Parlement préconise un nombre contraignant de points de recharge électrique d'ici à 2020, mais diminue les quotas nationaux par deux. C'est sur cette base qu'il négociera avec le Conseil un accord sur l'infrastructure de recharge pour les carburants alternatifs. Le modèle allemand pour la prise de recharge a été conservé, en dépit des critiques françaises. Le Parlement a choisi la neutralité technologique, en imposant des points de recharge de toute nature pour les véhicules routiers et les navires. En revanche, la mention de l'origine renouvelable des sources d'énergies n'est pas prévue.