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LA RÉDACTION, LE 13 AVRIL 2015
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Accélération. Tel est le mot-clé clamé à l'envi par le gouvernement. « La réindustrialisation du pays, qui est une priorité, ne peut passer que par l'action conjointe des ministères de l'Économie et de l'Écologie », affirmait Emmanuel Macron, le 2 avril, lors du Forum national des éco-entreprises. « Notre volonté est d'avoir des résultats concrets dès 2015 », a insisté le ministre de l'Économie. Et Ségolène Royal d'abonder, le lendemain, en présentant l'avancement des grands chantiers de son ministère de l'Écologie : « L'emploi est le sujet prioritaire. » Si la Conférence sur le climat se dessine à Paris fin 2015, cette échéance « n'est pas une finalité », cadre la ministre. La COP 21 doit servir « d'accélérateur de la transition écologique en amont comme en aval de l'événement ». Pour y parvenir, la ministre de l'Écologie se pose en responsable de la mobilisation de la société civile. Encore faut-il donner une cohérence d'ensemble à ce volontarisme. C'est le rôle attribué à la « Stratégie nationale de la transition écologique vers un développement durable ». Adoptée en février dernier, elle est la troisième du genre. La première (20032008) ne visait que l'État. La deuxième (2010-2013) commençait à s'ouvrir. La nouvelle (2015-2020) le fait plus largement en visant à « dépasser la logique sectorielle », présente Paul Delduc, délégué interministériel au Développement durable. « L'idée est de donner un cadre pour que chacun puisse s'engager. » Il en va des ministères, qui ont l'obligation de décliner cette stratégie dans leurs politiques. Parmi les premières actions figure le projet de charte pour les « mines responsables » lancé le 1er avril par le ministère de l'Économie. Autre exemple, le plan signé le 26 mars par les ministères des Outre-mer, du Logement et de la Ville. Il porte sur la construction de logements sociaux. Ses principes directeurs intègrent la transition énergétique « et l'expérimentation de modes constructifs alternatifs, notamment au niveau des matériaux, pour développer des filières locales », illustre Cédric Loret, haut fonctionnaire au développement durable au ministère des Outre-mer. Mais cette stratégie nationale appelle surtout à l'engagement volontaire des entreprises et des collectivités locales. « L'idée est de fonctionner par appels à projets », esquisse Paul Delduc. Au sein du Conseil national de la transition écologique, une commission spéciale se réunira pour la première fois le 7 mai. Elle définira les critères d'évaluation et de suivi des engagements de la société civile. TB


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