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Amoéba engage sa phase d'industrialisation

LA RÉDACTION, LE 29 JUIN 2015
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Amoéba va industrialiser son biocide biologique. Fondée en 2010 par Fabrice Plasson et Jacques Bodennec, la société française va s'appuyer sur la Bourse de Paris. L'entreprise veut lever les fonds nécessaires à la construction des premières unités de production de son biocide biologique destiné au traitement de l'eau. Concentrée sur la R & D ces dernières années, en engageant près de 2 millions d'euros depuis 2012, Amoéba a déjà obtenu les autorisations nécessaires pour lancer son produit. Elle a aussi signé deux accords de distribution avec Earthwise aux États-Unis et Magnus et au Canada. Afin d'accélérer le déploiement de sa solution sur le marché, la société a choisi de s'appuyer sur les groupes spécialisés dans le traitement de l'eau. Des contacts avancés seraient en cours avec treize autres distributeurs potentiels. Les sites envisagés pour la fabrication se trouvent en Europe et en Amérique du Nord. Ils seront mis en service au fur et à mesure de la demande. En 2017, Amoéba table sur deux usines en Europe et deux en Amérique du Nord, avant de doubler l'année suivante. Le coût global de construction de chaque ligne de production est estimé à deux millions d'euros, dans un délai de huit mois. Au total, ses besoins d'investissement s'élèvent donc à plus de seize millions d'euros. Amoéba se focalise dans un premier temps sur les tours aéroréfrigérantes. Sur un marché des biocides chimiques de 21 milliards d'euros, Amoéba estime que le segment du traitement de l'eau de ces tours représente un potentiel de 1,7 milliard d'euros au niveau mondial. Le micro-organisme qu'elle utilise, l'amibe Willaertia magna, est un prédateur naturel de bactéries pathogènes (Legionella…). En plus d'être naturel, ce biocide biologique sera moins coûteux, selon Amoéba, car il permet de supprimer les coûts indirects induits par les solutions chimiques, comme la dépollution, la surconsommation d'eau, la corrosion… JD > amoeba-biocide.com


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