Aggreko, spécialiste des solutions d’énergie décentralisées, lance un outil en ligne permettant aux opérateurs industriels d’identifier des alternatives plus durables pour leur production, en fonction des besoins énergétiques de leur site.
L’industrie fait face à un besoin pressant de décarbonation tout en soutenant leur production avec des procédés énergivores. C’est dans ce contexte qu’Aggreko a lancé un calculateur d’émissions baptisé « Greener Upgrades » qui vise à aider les opérateurs industriels à identifier des alternatives technologiques plus écologiques à leurs méthodes actuelles de production. En se basant sur les besoins énergétiques spécifiques à chaque site, cet outil est capable de déterminer les économies potentielles de dioxyde de carbone, d’oxydes d’azote, de particules et de consommation.
Ce calculateur a été créé grâce à l’expertise d’Aggreko en matière de solutions d’énergie décentralisées pour l’industrie, en mettant l’accent sur les applications spécifiques des secteurs de la fabrication, du BTP, des centres de données et de la pétrochimie. Simple d’utilisation, l’industriel doit d’abord choisir sur l’outil son secteur et ses besoins en énergie. Le calculateur lui indiquera ensuite la solution technologique la plus écologique, ainsi que d’autres options respectueuses de l’environnement. « Grâce à notre système de présentation simple, vous verrez clairement les réductions réelles des émissions et les économies de carburant, ce qui vous aidera à faire un choix éclairé pour concilier coût et développement durable », souligne la société.
Dans le cadre de l’initiative Greener Upgrades, Aggreko propose également une gamme de technologies plus durables, encourageant ainsi les opérateurs à adopter des pratiques plus efficaces et à réduire leurs émissions de carbone. L’entreprise propose notamment des groupes électrogènes et des systèmes de stockage d’énergie en batterie Stage V à très faibles émissions, ainsi qu’une huile végétale hydrotraitée (HVO) en tant que carburant de substitution. « La transition écologique ne pourra se faire que par une série de changements progressifs. Le simple fait de passer à un groupe électrogène plus petit et ne couvrant pas plus que les besoins du site permet aux opérateurs de réduire immédiatement les émissions de carbone. Mis en œuvre à court terme, les changements mineurs comme celui-ci peuvent avoir un impact considérable dans la durée. Nous encourageons donc vivement les opérateurs industriels à explorer les alternatives qui s’offrent à eux, car ils pourraient être surpris par les gains d’efficacité qu’ils peuvent en retirer », conclut Matt Watson, spécialiste des exportations du secteur industriel européen chez Aggreko Europe.
