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Gérer la pénurie des états du Golfe

LA RÉDACTION, LE 30 JUILLET 2007
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L’étude de faisabilité effectuée par Sogreah doit s’achever en 2007. Ce projet ambitieux comprend trois nouvelles stations de dessalement et la construction de plus de 1 000 km de canalisations, afin de relier l’Arabie Saoudite, le Koweït, l’archipel-État de Bahreïn, le Qatar, les Émirats arabes unis et Oman. Le GCC entend pallier aux risques techniques et éviter les ruptures d’approvisionnement que peuvent engendrer une conduite endommagée ou une pollution accidentelle dans le Golfe Persique. Si l’approvisionnement dans le Golfe n’était plus possible, les États concernés recevraient ainsi une alimentation d’appoint issue de l’Océan indien ou de la Mer Rouge. Et inversement. Car la région dépend quasi-exclusivement de l’eau de mer dessalée. L’enjeu est également politique, alors que les usines de dessalement constituent des points de vulnérabilité en cas de conflit.« L’interconnexion permettrait aux pays du GCC de réaliser des économies substantielles, en leur évitant de créer de nouvelles ressources, grâce à la mutualisation de la production provenant de ce système », souligne Patrick-Yann Dartout, chargé du développement international chez Sogreah. Un débit minimum continu devra assurer le bon fonctionnement du dispositif. Ce projet implique aussi de relier les réseaux d’eau à l’interconnexion des réseaux d’électricité, en cours de réalisation, quelle que soit la technique de dessalement retenue. Une telle coordination permettrait de transférer vers l’interconnexion d’électricité, l’énergie produite par les usines de distillation (MSF). Et si le GCC opte pour l’osmose inverse, cette interdépendance servirait à satisfaire les besoins énergétiques des membranes. CONTACT : Sogreah, Patrick-Yann Dartout, patrick.yann.dartout@sogreah.frChrystelle Carroy Cliquez ici pour consulter le site de GCC.Cliquez ici pour écrire à la rédaction d’Hydroplus.


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