« Pendant près de deux ans, nous allons parcourir la France et réaliser près de 1000 prélèvements d’eau de surface », présente Maïté Sarter, ingénieure d’études chez Lodiag. Ces échantillons – dont les points de prélèvements seront fournis par les agences de l’eau – subiront, d’une part, une analyse physico-chimique pour déterminer les substances qu’ils renferment, d’autre part, une mesure des impacts (effet cocktail) sur des cellules vivantes réalisée par Tame-Water (le nouveau nom de Tronico Vigicell, une entreprise vendéenne spécialisée dans les bio-essais). Ces données du terrain seront alors utilisées pour produire une cartographie des micropolluants présents dans les eaux.
PUBLICITÉ
À noter, le projet Hydroscreen a été labellisé, en mai 2019, par le pôle Hydreos dans le cadre de l’appel à projets Concours d’innovation-croissance financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA). Lodiag devrait recruter pour échantillonner les eaux de surface sur l’ensemble du territoire national.