« Le radium 226 et le strontium 90 sont des isotopes radioactifs potentiellement néfastes pour la santé et l’environnement. Ils sont difficiles à dépolluer car ils se comportent comme le calcium, un élément très abondant qui sature rapidement les dispositifs de dépollution », explique le CNRS qui relaie une étude publiée en février dernier dans la revue ES&T. Cette dernière prouve qu’une cyanobactérie découverte dans un lac mexicain, Gloeomargarita lithophora, piège plus de 99% des radionucléides en moins d’une heure.
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