Opérationnel en 2008, il sera utilisé comme un outil d’aide à la décision, complémentaire et différent en cela d’une certification. Il reflètera les qualités d’un projet selon trois paramètres : consommation d’énergie, consommation et récupération d’eau et cycle de vie des matériaux. « L’enjeu énergétique est pour nous majeur. En terme d’émissions de gaz à effet de serre bien sûr mais surtout de maîtrise des charges », explique André Yché, président du directoire. Le bailleur s’est donc fixé comme objectif de réhabiliter les 10 % de son parc les plus gourmands d’ici à 2010 et de réduire de 20 % sa consommation d’énergie primaire à l’horizon 2020 tout en alimentant au moins 10 % en énergies renouvelables. Il s’engage en parallèle à ce que la moitié des 5 000 projets qu’il engage chaque année obtienne les labels HPE ou THPE. Soit un investissement supplémentaire de 500 millions d’euros en réhabilitation et de 180 millions pour le neuf. « La poursuite de cette stratégie au-delà de 2010 nécessitera de nouvelles sources de financement », prévient André Yché qui compte sur un coup de pouce de l’État et des collectivités (surcroît de constructibilité, incitations fiscales, subventions…). Fabian TubianaCliquez ici pour découvrir et vous abonner à Environnement Magazine.Plus d'infos dans notre numéro d'octobre
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