Six mois après celui d'Anne Lauvergeon, l'ancienne patronne du groupe (La femme qui résiste, Plon), Areva occupe encore 200 pages dans un livre, celui du journaliste Thierry Gadault. Areva mon amour explique que, « derrière cinq petites lettres, se cache désormais un fleuron technoindustriel de la Ve République, et un pouvoir économique et politique très convoité ». L'auteur raconte l'opposition de deux clans :
les X-Mines (dont Lauvergeon est issue) contre les proches de l'Élysée. Jusqu'au fiasco d'Abou Dhabi en 2009, où les Coréens de Kepco furent préférés à un « club France », miné par la rivalité Areva-EDF.