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POLLUTIONS

Pollution atmosphérique : l'Anses recommande la réduction du trafic routier

E.G, LE 16 JUILLET 2019
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Pollution atmosphérique : l'Anses recommande la réduction du trafic routier
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) publie ce mardi 16 juillet un nouvel avis sur la pollution de l’air. Selon l’agence, il s’agirait non seulement de promouvoir les technologies alternatives en matière de transports, mais également de réduire le trafic routier en renforçant les autres modes de mobilité.

« A partir d’une revue méthodique de la littérature scientifique, l’Anses confirme avec des niveaux de preuve forts, les effets sur la santé (atteintes respiratoires et cardiovasculaires et décès anticipés) liés à certaines composantes des particules de l’air ambiant dont les particules ultrafines, le carbone suie et le carbone organique », écrit l’Anses dans un nouvel avis publié ce mardi 16 juillet. Les sources d’émissions pointées du doigt par l’agence sont en particulier le trafic routier et la combustion de charbon, de produits pétroliers et de biomasse.

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« Par ailleurs, au vu de la rareté des données, l’Anses recommande de poursuivre les efforts de recherche sur les effets sur la santé associés à d’autres sources de particules telles que l’agriculture, le transport maritime, l’activité aéroportuaire », peut-on lire dans ce nouvel avis. Pour le transport routier, l’Anses souligne que les évolutions de technologies vont permettre de diminuer la pollution atmosphérique mais qu’elles seront insuffisantes pour améliorer la qualité de l’air. « L’Anses recommande ainsi d’encourager la promotion des technologies alternatives et surtout la réduction du trafic, à travers notamment le renforcement des autres modes de mobilité, dans le cadre des politiques d’amélioration de la qualité de l’air. » En associant la promotion des véhicules électriques et la réduction du trafic routier, les émissions de PM2,5 et de carbone suie dues au trafic pourraient ainsi être diminuées de 30%, souligne l’agence.

Selon les travaux menés par l’Anses, l’exposition aux particules ultrafines, au carbone suie et au carbone organique peut engendrer des maladies respiratoires et cardiovasculaires et peut impacter la santé neurologique et périnatale.


DR
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