Lors du premier confinement, la pollution a baissé : c’est ce qu’a pu constater le service européen Copernicus lors du premier confinement. Il avait mis à disposition de tous des données sur la présence des principaux polluants dans l’air : le dioxyde d’azote, les particules et l’ozone. Ses outils avaient notamment permis de constater le pic de chaleur au mois de juin 2020, le plus chaud jamais enregistré.
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