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Le Snefid lance sa charte d'engagement responsable

LA RÉDACTION, LE 7 JUIN 2016
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Après avoir quitté la Fnade, en 2014, le Snefid, le syndicat national des entrepreneurs indépendants de la filière déchets, poursuit sa structuration. Il vient de lancer « la charte de l’entrepreneur responsable ». Il s’agit d’abord, pour les adhérents qui la signent, d’un engagement symbolique, moral, car elle ne s’accompagne, pour l’instant, d’aucun indicateur mesurable. La charte engage ses signataires à une activité professionnelle respectueuse de l’environnement, de conditions de travail valorisantes et synonymes de sécurité pour les collaborateurs. La charte invite à adopter les principes de responsabilité sociétale, à mettre l’accent sur la formation, l’économie circulaire, l’innovation, l’esprit d’indépendance de l’entreprise. C’est l’une des démarches amorcées par le jeune syndicat pour asseoir sa structure et son image.Depuis sa création, en 1995, il a changé trois fois de nom : d’abord Groupement national des PME du déchet et de l’environnement (GNPMED), pour devenir en 2012, Les entrepreneurs de la filière déchet, puis Snefid en 2014. Il quitte le monde associatif et intègre alors l’appellation, et le statut, de syndicat. Pour ces acteurs de la filière déchets qui ne se reconnaissent plus dans la Fnade, passer par la case « syndicat » leur permet de devenir un interlocuteur aux yeux des pouvoirs publics.Le Snefid peaufine ses positions, par exemple sur la TGAP. Sur la REP des déchets de soins à risques infectieux (Dasri), le Snefid n’en souhaite pas l’élargissement au-delà de l’auto-traitement. Il défend ainsi l’activité de ses adhérents, parfois des entreprises unipersonnelles, qui démarchent les professions libérales (infirmiers…) pour la gestion de ces gisements et qui ne seraient pas en mesure de répondre à des appels d’offres de grande envergure. Le Snefid se montre également ouvert à des discussions avec Les Recycleurs indépendants (ARI), lancés début 2016. L’un des critères pour adhérer au Snefid consiste à ce que « le dirigeant détienne la majorité du capital », rappelle Léo Escourrou, chargé de mission au syndicat. Ainsi, des PME, mais aussi Paprec, Séché ou Pizzorno, comptent parmi ses membres. Le Snefid représente 74 entreprises et 20 800 emplois, pour 2,7 milliards de chiffre d’affaires.Chrystelle Carroy 


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