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TERRITOIRES

Feu vert est donné aux flottes de vélos d’entreprise

LA RÉDACTION, LE 17 NOVEMBRE 2015
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Une série d'amendements visant à rétablir l’aide à l’achat de flottes de vélos d’entreprise, ayant reçu l’avis favorable de la commission des finances et du gouvernement, ont permis de remettre en selle l’aide à l’achat de flottes vélo d’entreprise prévue par l'article 39 de la loi du 17 août relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Début novembre, des élus ont rappelé qu'elle était importante et ont mobilisé leurs réseaux pour que cette mesure ne finisse pas aux oubliettes dans le PLF 2016. Il s'agit en effet selon Pierre Serne, vice-président EELV de la région Île-de-France et président du Club des villes et territoires cyclables, nullement d'une mesurette mais bien d'un puissant levier, très attendu par la profession du cycle, pour accroître l'usage du vélo dans les déplacements domicile-travail. Un impact sur l'emploi Et de citer l'impact qu'elle a eu outre-Manche tant sur le plan commercial (ventes de vélos, commerces et services associés) que sur le report modal. Selon lui, elle y aurait mis en circulation plus de 80.000 vélos dans 30.000 entreprises. Alexis Bachelay, député des Hauts-de-Seine, aux côtés des députés parisiens Philippe Goujon et Denis Baupin, critiquaient aussi cette marche arrière. Une dizaine d'entreprises du secteur, représentant près d'un millier d'emplois, se sont également mobilisées. Des clients réceptifs Chez Green On, qui fournit des flottes de vélos partagés à des entreprises et des administrations, comme la SNCF ou l'IRSN - ce qui représente un plus pour leurs employés et inclut le système de réservation, d'entretien, d'assurance et de reporting, pour un coût oscillant entre 100 à 150 euros par vélo et par mois –, François Schaub confirme à juste titre que ces entreprises sont intéressées, et qu'un crédit d'impôt serait pour les plus frileuses un excellent moyen de franchir le pas. « C'est contre-productif d'abroger une telle mesure alors que les villes, lorsqu'elles sondent leurs habitants ou font un budget participatif, savent bien que le vélo suscite de leur part de fortes attentes », insiste Corinne Verdier chez Altinnova. D'autres entreprises, que les collectivités connaissent bien pour leur avoir confié, comme Vélogik à Clermont-Ferrand, la gestion des vélos en libre-service de l'agglomération, ont aussi soutenu le maintien de cette mesure.MB


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