Alors que le gouvernement a inscrit dans son plan biodiversité, l’objectif de zéro artificialisation nette à l’horizon 2050, les données issues des fichiers du centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) témoignent d’une hausse de l’artificialisation des sols en 2018.
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Une dynamique différente est constatée dans les départements d’Outre-mer : « on constate en effet une artificialisation de 575 ha sur 2015-2016, suivi d’un pic sur la période 2016-2017 (environ 956 ha) puis une diminution sur 2017-2018 (612 ha). Sur la France métropolitaine, le rythme de l’artificialisation a augmenté en 2018 pour la deuxième année consécutive », est-il précisé.