Dossier | Bâtiments : une cohorte sur pieds d’argile
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Plus de la moitié du parc de maisons individuelles est vulnérable au retrait-gonflement des argiles (RGA). Les mouvements de terrain liés à l’enchaînement de pluies et sécheresses sapent les bases du bâti, pour une facture croissante. De 2020 à 2050, le RGA se chiffrerait à 43 milliards d’euros contre 14 Md de 1989 à 2019, projettent les assureurs. Prévenir le risque coûte au moins trois fois moins que réparer les sinistres.