Une étude réalisée par le Centre d'études politiques européennes (CEPS), à la demande de la Commission, révèle la pression des coûts des politiques de l'UE sur le secteur de l'aluminium. Elle souligne la différence entre les fonderies encore protégées grâce aux contrats à long terme conclus avant la mise en place de l'ETS, et celles qui y sont pleinement exposées. Ces dernières sont devenues les fonderies les moins compétitives au monde et elles font face à des coûts supplémentaires allant jusqu'à 228 euros par tonne d'aluminium produite, soit 11 % des coûts totaux de production.