« Cette décision constitue une belle reconnaissance pour la « culture de l’eau » qui habite la France et Marseille, et pour la politique de notre pays en ce domaine. Elle récompense l’enthousiasme et l’engagement dont ont fait preuve l’ensemble des autorités nationales et locales, unies autour de la Ville de Marseille », indique le ministère de l’Écologie dans un communiqué.Ce choix marque aussi l’originalité d’une candidature qui met l’accent sur une nouvelle gouvernance autour du modèle du “Grenelle de l’environnement”, ainsi que sur la thématique du droit d’accès à l’eau et à l’assainissement portée par le ministre d’Etat et la secrétaire d’Etat à l’écologie. Elle marque, enfin, la capacité de Marseille et de sa région à accueillir un évènement de dimension internationale.