Sur les 5 000 brevets déposés en France en 2009, 37 % concernent des éco-innovations, et 2 % le secteur de l'eau, selon l'INPI. Le nombre de brevets dans le domaine de l'eau est stable depuis plusieurs années. Parmi ces derniers, figurent 2,5 fois plus de procédés de traitement par voie chimique ou physique - précipitation d'impuretés en suspension, adsorption ou absorption - que par voie biologique. Ils visent particulièrement les polluants tels que les nitrates, les phosphates et les métaux lourds