Une équipe japonaise de l’AIST a montré que l’adjonction d’un agent tensioactif dans l’eau de chauffage (à 0,5 %) suffisait à réduire la résistance entre l’eau et la paroi des tuyaux, créant ainsi un flux laminaire. Évitant les pertes dans les canalisations, la puissance électrique consommée par la pompe peut être réduite de 65 % à débit égal selon les résultats enregistrés au cours d’une expérience de trois mois. Les chercheurs tentent maintenant de valider l’approche en climatisation. Cécile Clicquot de MentqueCliquez ici pour découvrir et vous abonner à La Lettre de l’environnement.Cliquez ici pour écrire à la rédaction de La Lettre de l’environnement.