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POLLUTIONS

Qualité de l’air : l'Île-de-France explore de nouvelles solutions pour ses stations souterraines

PUBLIÉ LE 30 AOÛT 2022
LA RÉDACTION
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Qualité de l’air : l'Île-de-France explore de nouvelles solutions pour ses stations souterraines
Crédit : Dan Novac/Pixabay
La Région relance son dispositif « Innovons pour l’air de nos stations » pour identifier de nouvelles technologies destinées à améliorer la qualité de l’air dans les espaces ferroviaires souterrains. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 02 novembre.

Faire circuler un air purifié au sein des enceintes souterraines des transports en commun. Tel est l’objectif de la seconde édition de l’appel à projets « Innovons pour l’air de nos stations » lancé par la région de l’Île-de-France. Le dispositif est ouvert jusqu’au 02 novembre aux porteurs de solutions techniques de dépollution souterraine, incluant les startups, les PME et les grandes entreprises.

Malgré les actions menées par la RATP et la SNCF afin de mesurer et de réduire les niveaux de particules dans les enceintes souterraines, l’association Respire montre dans un rapport que le niveau de pollution aux particules (PM10, PM2,5 et PM1) est « deux fois » supérieur aux abords des bouches d’aération de la RATP que dans l’air extérieur urbain.

Face à cette pollution de l’air, la Région et ses partenaires (Île-de-France mobilités, la RATP, la SNCF et  Airparif) ont lancé une série d’expérimentations des technologies retenues dans le cadre du dispositif « Innovons pour l’air de nos stations ». La Région avait notamment financé 5 projets novateurs pour un montant total de plus de 960.000 euros.

Combinaison de technologies

Les expérimentations ont montré que chacune des solutions présente une réelle efficacité pour améliorer la qualité de l’air « avec la nécessité parfois de les adapter à des contraintes particulières ». Les essais ont démontré que la lutte contre la pollution dans les enceintes souterraines « tient davantage d’une combinaison de technologies, plutôt qu’à l’une ou l’autre en particulier ». Ces technologies entreront désormais dans une seconde phase d’expérimentation, sur une longue durée à plus grande échelle : une station entière, un quai ou un wagon entier, et en conditions réelles.

De manière complémentaire, la seconde édition de l’appel à projets permettra à la Région d’identifier des solutions qui permettent « de piéger ou réduire à la source les polluants des enceintes ferroviaires souterraines et réduire les éventuels impacts sur l’air extérieur de la ville ». La subvention maximum accordée à chaque projet est de 1 million d’euros.
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