L’objectif du « contrat » porte sur 50 000 t/an de papier de bureau collectées d’ici à cinq ans et la création de 500 emplois solidaires. ELISE se charge de la collecte à travers un réseau déjà bien rodé depuis 1997 : dix sites d’exploitation répartis dans l’hexagone, 4500 établissements clients et 250 000 corbeilles de tri installées. Chaque année, cette entreprise traite 12 000 tonnes de papier. En se rapprochant de Veolia Propreté, Bruno Meura, le fondateur d’ELISE compte s’appuyer sur les 98 agences existantes du groupe pour développer son réseau d’entités et couvrir à l’horizon 2015, les principales villes françaises. ELISE poursuit également son développement vers la collecte d’autres flux comme les canettes, les cartouches d’encre, les piles et les ampoules qui peu à peu seront collectées avec le papier de bureau. Pour Veolia, c’est l’occasion de pouvoir capter des gisements, difficiles d’accès et coûteux en logistique. A ce jour, environ 340 000 t/an de papiers de bureau sont collectées et recyclées en France dont 60 000 t/an environ par Veolia Propreté. * Entreprise Locale d’Initiatives au Service de l’EnvironnementRR